• Poésie au passage 237...

     

     aléas du temps

     

    te serais tu perdu dans les souvenirs

    que ne me parvient plus qu'un silence humide et collant

    souligné d'un écho de lisière

     

    a t il existé

    ce temps aussi léger qu'un nuage blanc

    sucre de neige sous la langue fondu sitôt que goûté

    chamallow d'étoiles effervescentes

     

    genre de faveur serpentine

    abandonnée aux lendemains de fête foraine

    sur la place où tournoie avec les feuilles

    la note de fond forant le sable

     

    te serais tu perdu dans les souvenirs

    que ne me reste plus que l'éventail des gris

    pour disperser la poussière retombée sur les choses

     

    andrée wizem

    Retour à Carnet "entrepôt des rêves"...clic...

    « Poésie au passage 236...Poésie au passage 238... »

    Tags Tags : , , , , , , , , , , , , ,
  • Commentaires

    1
    Mercredi 18 Décembre 2013 à 21:09

    biens sûr qu'il a existé ce temps aussi léger qu'un nuage blanc mais il est si léger que son souvenir ne pèse pas sur nous et c'est bien ainsi

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :




    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :