-
cf https://www.mjc-robert-martin.fr/thatre/2021/9/6/atelier-ecriture
atelier avec les propositions de Lionel Roubin qui pratique l’animation d’ateliers d’écriture notamment en rapport avec la nature et poursuit par ailleurs un travail poétique personnel.
.................................
Lecture en préambule:
Quelques extraits ou fragments ou haïkus
Joël Vernet, Christian Degoutte, Emmanuel Fournier, Elizabeth Clément
Proposition :
1 - Un thème: Mon nom ou ce qui ne cesse d'arriver
2 - Ecrire un tercé lié au souvenir que l'on a de soi-même ( image extérieure/qui nous est visible/matérielle/physique/corporelle
3 - Ecrire un tercé : tenter de relever ce qui en l'autre (écrivant-e présent-e dans l'atelier) parle de soi (toujours en observant les signes extérieurs)
4 - Ecrire un tercé: ressenti-perception de son image perso intérieure
5 - Reprendre ces fragments pour composer un texte en lien avec le thème initial
.................................................
Sous la frange ultra courte, il y a crispation des genoux cagneux et la démesure d'un vichy empesé
De dos, la longueur de la chevelure laisse jouer les rayons du soleil jusqu'au bas des reins
Une fois déjà, bien avant l'heure, l'image est celle qui apparaîtra plus tard
...............................
Les nuances de bleu offre un éventail pour les jours avec et les jours sans
Le mime articule les mots afin que la voix soit audible
L'hésitation a de qui tenir
.................................
Inutile de regarder en arrière
Le vague, le vide, la vie vont ensemble
Qui cherche trouve
..................................
..................................
Ce qui ne cesse d'arriver
Inutile de regarder en arrière
Une fois déjà, cependant, bien avant l'heure, l'image fut celle qui apparaît aujourd'hui
Le vague, le vide, la vie vont ensemble
La valse-hésitation a de qui tenir
Les nuances de bleu offre un éventail de jours avec et de jours sans
Sous la panoplie, qui cherche trouve
De dos, la longueur de la chevelure laisse jouer les rayons du soleil jusqu'au bas des reins
Nous sommes plusieurs
Sous la frange ultra courte, la crispation des genoux cagneux et la démesure d'un vichy empesé augurent de l'inadéquation au temps qui court
Seul, le mime articule les mots afin que la voix soit audible
Par le jeu de la balle au bond, des noms fusent au hasard
En garder un en bouche, jusqu'à demain, au cas où, est une pratique salutaire
Andrée W.
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cf https://www.mjc-robert-martin.fr/thatre/2021/9/6/atelier-ecriture
atelier avec les propositions de Lionel Roubin qui pratique l’animation d’ateliers d’écriture notamment en rapport avec la nature et poursuit par ailleurs un travail poétique personnel.
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Lecture en préambule:
Quelques fragments de "Prolegomène à toute poésie" de Stephane Cremer - Editions Isabelle Sauvage
https://editionsisabellesauvage.fr/catalogue/prolegomenes-a-toute-poesie/
Proposition :
1 - Ecrire un "Autoportrait en prosopopée apophatique"
Prosopopée: Figure de rhétorique par laquelle on fait parler et agir une personne que l'on évoque (absent, défunt, animal ou chose personnifiée)
Apophatie: Qui procède par négation, négatif - Dire ce que la personne dont on parle n'est pas- Approche par l'usage de la négation
Eclairer ce qu'est la chose ou la personne en disant ce qu'elle n'est pas
.................................................
Stylographe
Du stylet je ne tracerai pas la fluidité de sa parole
Pas plus que les volutes enjouées de ses envolées lyriques
A peine si le cliquet du va-et-vient de la mine ne laissera entendre son zeste de fantaisie
Il faudra plus d'un point pour que prenne essor le tout phénoménal qui la transporte
Dans ce creuset où se forme la cursive sa trompe de papillon boit du nectar
Il n'y a pas l'ombre d'une problématique à dérouler le fil de son écriture
Dans mon antre se succèdent son stock de cartouches d'encre des mers du sud
Le premier point apparu sur sa feuille est donc bleu émeraude
Ses manuscrits ressemblent à ces vagues régulières qui se pressent autour d'une île enchantée
Ce jour, occupé à la litanie de ses secrets, je n'écrirai rien de sa singulière histoire, in fine
Andrée W.
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Slam Poésie...Atelier d'écritureS et mise en voix sur scène ouverte...
Chaque 2ème Mercredi du mois...Romans sur Isère 26...
~~~~~~~~~~~~~~~slam poésiechaque deuxième mercredi du mois
jusqu'en mai 2017de 17h jusqu'à 19h atelier d'écritureSde 19h à 19h30 boissons et en-cas proposées sur placede 19h30 à 21h mise en voix - scène ouvertebienvenue à toutes celles et tous ceux quiveulent se laisser tenter par les motsont déjà des textes en pochesouhaitent découvrir une des scènes slam poésieentendre des voix diversespartager un temps d'expressions multiplesconditions d'accès:atelier écritureS: gratuit pour celles et ceux déjà adhérent-esparticipation financière souhaitée pour les nouveau-elles venu-es (indication: cot°15€/an)scène: entrée gratuite sortie au chapeau pour le publicun texte dit = un verre offert bien sûr!maison de quartier coluchesalle "habitants"42 bis rue andré chénier26100 romans sur isère~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~atelier d'écritureS et scène de mise en voix slam poésieprochaines datemercredi 10 mai 2017~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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censuré
parfois
les images de rêve
ont l'art
de la subversion
quand la réalité
se fait de plombandrée wizem
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atelier avec les propositions de Lionel Roubin qui pratique l’animation d’ateliers d’écriture notamment en rapport avec la nature et poursuit par ailleurs un travail poétique personnel.
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Propositions :
Textes lus en préambule de : Gaston Bachelard, Constantin Brâncusi, Teijo Nakamura, Valère Novarina
1 - à lire: une série d'aphorismes de René Char et une série d'aphorismes de Bob Dylan
2 - choisir 3 aphorismes parmi ces deux séries
3 - écrire un fragment en écho à chaque aphorisme choisi
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A : "Homme de la pluie et enfant du beau temps, vos mains de défaite et de progrès me sont également nécessaires" - René Char
Pluie et soleil en alternance
De l'homme à l'enfant et de l'enfant à l'homme
L'un ne peut être sans l'autre
Pluie et soleil mêlés
Les mains pour le port des nuages
et l'eau à puiser
Les mains pour tresser les feuillages de l'ombre
Des paniers en osier l'eau ruisselle
A quatre mains pour en goûter le flux
B - " Désabusés, les mots aboient comme des balles" - Bob Dylan
Trop d'abus nous épuisent
Les voix se tarissent
et les gosiers s'assèchent
Les oiseaux sont troués de paroles en plomb
Les aboiements sont tenaces
et nous tiennent embusqués
Désabusés nous courbons l'échine
C - " Quand on a mission d'éveiller, on commence par faire sa toilette dans la rivière . Le premier enchantement comme le premier saisissement sont pour soi" - René Char
Jamais dans la même eau
La rivière se rêve continue
Mais rien n'est assuré
Ce qui fut hier n'est plus
Ce qui est nous prend de court
Pas même le temps d'une question
ni d'une certitude
Plonger est la seule manière
de connaître l'eau
...................................................
4 - faire une sélection de listes de mots issus tant des aphorismes que de ses propres textes -listes de noms communs...verbes...adjectifs...adverbes...)
5 - rédiger un texte court en puisant dans ces listes perso
Lui trouver éventuellement un titre
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Faire miel de tout
Tressés, les aphorismes sont des cages d'oiseaux
Entre pluie et soleil, les paroles s'épuisent en flux continu
Embusqués, des voix trouent les feuillages
Tenaces, les gosiers boivent chaque goutte de rosée
Quand on a goûté à l'enchantement, on fait miel de tout
Andrée W.
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carnaval de romans sur isère 26
carmentran 2015...2014...2013...
carmentran 2015...10...clic...
autres images
(cliquer sur chaque image pour la voir en grand)
voici carmentran 2013...
du côté des enfants...clic...
du côté des grands...clic...
du côté des grands*...clic...
du côté des grands**...clic...
carmentran & c°...clic...
carmentran & c°°...clic...
carmentran & c°°°...clic...
voici carmentran 2014...
carmentran 2022
http://andree-wizem-imagerie.eklablog.com/la-preuve-par-carmentran-1-2022-06-03-2022-a212219663
http://andree-wizem-imagerie.eklablog.com/la-preuve-par-carmentran-2-2022-06-03-2022-a212220101
andrée wizem
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Proposition :
1 - une image: deux tiers d'avant-champ de hautes herbes sèches - un tiers de ciel d'un bleu sombre- derrière les herbes le haut d'une bâtisse disposée en longère-signes du vent: inclinaison des herbes-orientation des nuages
Carte postale de Helmut Krackenberger photographe: https://www.krackenberger.com/accueil
2 - Lecture de plusieurs extraits de textes:Julien Gracq " La littérature à l'estomac", Pierre Jourde, Maurice Blanchot, Pierre Soulage, Yves Navarre
3 - Incipit:
"Toujours croyons-nous avoir déposé toute l'enfance et poursuivre avec ce peu qui nous reste"
"Ma langue vivace"
4 - écrire un texte en lien-écho...aux extraits initiaux en sept parties avec contraintes
- monostiche: strophe d'un seul vers plus ou moins long
- quintile: cinq lignes
- tercé: trois lignes (une de 5 mots-une de 8 mots-une de 3 mots)
- quintile: cinq lignes
- tercé trois lignes (une de 5 mots-une de 8 mots-une de 3 mots)
- quintile: cinq lignes
- monostiche: strophe d'un seul vers plus ou moins long
Durée d'écriture minutée: 30'
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Ma langue vivace
C'est en rampant que j'approchais le paysage
Le silence était de mise
Le temps était à l'orage
Le vent noircissait le ciel
Le crépuscule s'annonçait dans une flaque bleu-pétrole
La terre chavirait sous un fouet d'herbes sèches
Maisons de pisé en longère
Le poids des années enterrait un horizon de pierres
Je mâchouillais l'orge
Tout un grésillement d'insectes envahissait l'air chaud
L'étendue des chaumes exhalait des relents fétides
Les bâtisses étaient plaquées d'ombres et de lumières
La flopée des nuages s'engouffrait dans mes yeux
Le temps lourd me figeait au sol
Il fallait oser un cri
J'oscillais entre hululement glapissement hurlement ou sifflement strident
Ma langue fourcha
L'écho fracassant d'un roulement de tonnerre bouleversa le paysage
Des éclairs marquèrent l'atmosphère de leurs zébrures
La pluie doucha l'horizon
Les maisons redevinrent un jeu de lego
Des gouttes tremblantes glissèrent le long des brins de paille
La terre absorba sans broncher cette nouvelle éclaircie
Andrée W.
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(cliquer et zoomer)
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un gardien d'écluse
dans l'embrasure de ses yeux
le poisson volant
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andrée wizem
Voir plus
http://andree-wizem-poezizanie.eklablog.com/circuits-courts-c32997854
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cf https://www.mjc-robert-martin.fr/thatre/2021/9/6/atelier-ecriture
atelier avec les propositions de Lionel Roubin qui pratique l’animation d’ateliers d’écriture notamment en rapport avec la nature et poursuit par ailleurs un travail poétique personnel.
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Proposition 1 : un thème "La nuit remue"
- une écoute audio: "La nuit réclame son dû" -Groupe Pelouse-Chant: Xavier Machault Compositeur: Valentin Ceccaldi
- lecture de trois textes: un de Jean Pierre Siméon: extrait de "La nuit respire"-Cheyne éditeur et deux de Lionel Roubin: "Markplatz" et "La nuit remue"
1 - écoute sans prendre de notes
2 - écoute chacun-e faisant sa cueillette de mots entendus ou en lien
3 - noter en réserve un de ces mots ou mot générique et l'oublier pendant l'écriture
4 - écrire un texte correspondant au thème initial en six parties avec contraintes
- tercé: 1ère ligne de 7 mots - 2ème ligne de 14 mots - 3ème ligne de 9 mots
- fragment libre (donc plus ou moins court)
- monostiche: strophe d'un seul vers plus ou moins long
- une phrase de 36 mots avec une virgule à placer au meilleur endroit pour qu'elle soit un plus
- distique:réunion de deux phrases qui renferment un sens complet
- fragment libre
6 - Durée d'écriture minutée
7 - Placer le mot en réserve en titre ( dans ce temps d'écriture il a manqué un temps d'écriture pour mettre en cohérence ou résonance titre et texte du coup mon mot mis en réserve "Réverbération" est plutôt en dissonance voire plutôt incongru mais peut être pas cf mes notes en bas de page)
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Réverbérations
La nuit charrie son torrent de mots
S'approcher de trop près des failles
accroche des bruits de carrière
de chute de pierres
Des remugles des râles sombres
me frôlent à l'encolure
Il se peut qu'à l'heure de la relève
mon temps soit venu
que je m'égare sous les crocs et morsures
et qu'à l'aube je ne sois plus qu'un visage pâle
Mais sous mes pas crisse la braise du charbon de bois
Entre les spectres des arbres
se faufile un va-et-vient lancinant de scies suintant des airs de sioux
sous les craquements de troncs et branches, le charroi sauvage d'une
communauté de bêtes et d'hommes
J'attise quelques étoiles au fronton du ciel en meuglant dans mon harmonica
La nuit remue son mufle humide et froid
Parvenu au bord du torrent
je retrouve sous mon cuir
ma bête de somme
andrée w.
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après écriture:confirmation du titre (écho à ce que j'avais entendu) que je vais mettre au pluriel
réverbération acoustique: persistance du son quand la source est éteinte
réverbération: réfléchissement de la lumière dans un lieu qui la diffuse
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Publié en Septembre 2012
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Luther
Pour mettre le diable en fuite il faut comme lui
grimaçer. Ronfle gonfle-toi cobra de la colère!
L'ennemi est partout sous l'étole et la tiare, en vous
comme en moi. Mais gare à Dieu si je dis tout!
Jean Tardieu
"La part de l'ombre" p 63
Proses 1937 - 1967
Préface d'Yvon Beleval
Poesie / Gallimard......................................
(...)
Que suis-je, bon sang? Que suis-je? Que sommes-
nous? De quelle armée en marche sommes-nous les
avant-postes? De quel gouvernement sommes-nous
les délégués? De quel opéra sommes-nous les figurants?
Permettez: j'interroge, rien de plus. Je ne suis d'ail-
leurs pas le premier.
Adieu, arbres à l'horizon. Piétinez le sol en cadence
et chantez sans bouger: "Partons! Partons! Partons!"
La question reste et vous ne m'avez pas répondu.
Jean Tardieu
"La part de l'ombre" p 72
Proses 1937 - 1967
Préface d'Yvon Beleval
Poesie / Gallimard......................................
La part de l'ombre
(...)
Cette obscurité, je n'entends point l'adorer, mais
la reconnaître pour telle, savoir où elle commence et,
de la sorte, mieux repérer les frontières de mon domaine.
A moi de combattre pied à pied l'envahissement
des ténèbres, de repousser le plus loin possible mes
limites --- mais quelle folie de croire que je pourrai
continuer à vivre et à lutter si, dès ce monde-ci,
je ne fais pas la part de l'ombre!
(...)
Jean Tardieu
"La part de l'ombre" p 74
Proses 1937 - 1967
Préface d'Yvon Beleval
Poesie / Gallimard......................................
Les mots de tous les jours
Il faut se méfier des mots. Ils sont toujours trop
beaux, trop rutilants et leur rythme vous entraîne,
prêt à vous faire prendre un murmure pour une
pensée.
Il faut tirer sur le mors sans cesse, de peur que ces
trop bouillants coursiers ne s'emballent.
J'ai longtemps cherché les mots les plus simples,
les plus usés, même les plus plats. Mais ce n'est pas
encore cela: c'est leur juste assemblage qui compte.
Quiconque saurait le secret usage des mots de tous
les jours aurait un pouvoir illimité,---et il ferait
peur.
Jean Tardieu
"La part de l'ombre" p 84
Proses 1937 - 1967
Préface d'Yvon Beleval
Poesie / Gallimard......................................
Esquisse d'une psychologie
du dialogue liminaire
à travers une porte fermée
"Qui est-ce? C'est toi?
---Oui, c'est moi."
Ainsi commence plus d'un dialogue de part et
d'autre d'une porte.
(...)
Jean Tardieu
"La part de l'ombre" p 180
Proses 1937 - 1967
Préface d'Yvon Beleval
Poesie / Gallimard......................................
Extrait de film
extraits de spectacles de James Thiérrée
découvert lors des Envolires 2012 (clic)
Hand
andrée wizem
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aujourd'hui
"découvrez l'univers débridé de Mo's, avatar épidermique de James Thierrée !
Un rodéo-concert, une toupie folle emportant corps et instruments en une valse tellurique des lendemains qui chantent aujourd'hui. "
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